Ce soir-là, les mouches étaient venues, plus nombreuses encore, taquiner nos amis cervidés.
Si quelques jeunes cerfs étaient encore en tenue d’hiver, d’autres étaient coiffés de bois décorés des lambeaux de leur ancien velours. Excités, sans cesse en alerte, ils humaient l’air en quête d’odeurs suspectes que le vent leur aurait rapportées.