Sorti, ce jour-là, sans autre idée que d’aller voir si les lézards verts se montreraient, à cette heure de la journée, par ce temps très chaud et très venteux, j’étais occupé à filmer quelques insectes dans les buissons d’églantines.
C’est là que, de très loin, je vis deux taches rousses qui me firent penser aux renards.
Je tentai l’approche, me cachant difficilement derrière les vignes, et profitai du fait d’être à bon vent.
Et j’eus l’heureuse surprise de pouvoir observer, sans déranger, une chevrette suitée de ses deux faons.
J’irai voir mes lézards verts un peu plus tard, pour y trouver, peut-être encore, d’autres surprises.