Aux dernières heures du jour, alors que la harde était déjà retournée en forêt, surgissaient d’on ne sait où, quelques beaux coiffés.
Avançant prudemment à découvert, attirés par les pommes et poires tombées au sol, ils étaient partagés entre prudence et gourmandise.
Ils ne s’étaient guère attardés, mais nous auront offert le spectacle grandiose de leur magique apparition.
Le lendemain soir, alors que nous espérions les revoir, peut-être encore, nous allions devoir nous contenter de retrouver ce vieux cerf, au volume impressionnant, toujours suité de son habituel page.
Madame Goupil, demeurait, elle aussi, habituée des lieux, aux dernières heures du jour.